L’actu de nos partenaires – Mars 2022
À l'occasion de la parution de notre lettre d'info Court Circuit, on vous propose une sélection de ce que certains des partenaires d'Énergie Partagée réalisent actuellement !
Signez la pétition « Unlock » pour débloquer des milliards d’euros pour la rénovation énergétique
Partout en France, des familles ont des difficultés pour se chauffer dans des logements mal isolés. Nos appartements et nos maisons ont un impact considérable sur le réchauffement climatique. Il y a une solution. L’argent existe et nous pouvons l’utiliser pour rendre nos habitations énergétiquement performantes.
Débloquons plusieurs milliards d’euros pour rénover nos logements et lutter contre le réchauffement climatique. Rejoignez le mouvement et demandons aux banques de débloquer les moyens pour rénover nos habitations et lutter contre le réchauffement climatique.
9 avril : rejoignez une marche pour le futur – et pour le climat ! – près de chez vous
À la veille du 1er tour des élections présidentielles et après les marches « Look up » pour le climat du 12 mars, auront lieu partout en France des « marches pour le futur », à l’appel de nombreuses organisations de la société civile :
« Guerre en Ukraine, crises climatique et sanitaire, explosion des inégalités, montée des discours de haine, violences sexistes et de genres… Nombreuses sont les raisons du découragement et de la paralysie. À quelques jours de l’élection présidentielle, on veut nous faire croire que l’histoire est déjà écrite.
Mais il ne tient qu’à nous de l’écrire. Le 9 avril, la veille du premier tour, nous nous rassemblerons par centaines de milliers. Pour faire des cinq prochaines années celles de la justice, du climat, de l’égalité et de la paix. Pour enfin nous retrouver et porter haut et fort nos valeurs, celles du monde de demain. Nous n’attendrons pas 5 ans de plus pour le bâtir. »
Trouvez la marche la plus proche
Low-tech et économie sociale et solidaire : le Labo de l’ESS propose une série de ressources
Concept connaissant un intérêt croissant en France depuis quelques années, la low-tech propose une réflexion critique sur la place et l’usage de la technologie dans notre société. Sans rejeter en bloc l’innovation technologique, il pointe un certain nombre de limites et de risques liés à notre dépendance croissante à la high-tech et à notre confiance en la capacité de la technologie à résoudre les problèmes écologiques et sociaux auxquels nous sommes confrontés.
En réponse à ces enjeux, la notion de low-tech désigne des objets ou services pouvant être définis par plusieurs critères : capacité à durer, faible consommation de matières premières et d’énergie, impact environnemental réduit, forte autonomie d’usage, simplicité et accessibilité, degré d’utilité. Plus largement, la démarche low-tech vise à interroger nos besoins et à trouver les solutions technologiques les plus adaptées pour y répondre, dans une logique fondamentale de sobriété, et constitue donc un levier important pour notre résilience collective.
Partant des travaux existants sur ce concept, l’étude du Labo de l’ESS poursuit trois objectifs :
- Définir ce qu’est une démarche low-tech à l’échelle d’un territoire métropolitain et en démontrer l’intérêt.
- Interroger le rôle de l’ESS dans la définition et la mise en œuvre d’une telle démarche en identifiant et analysant un certain nombre d’initiatives concrètes.
- Proposer des mesures et actions concrètes permettant de faciliter cette mise en œuvre, en bonne articulation entre échelles territoriales et en lien avec l’écosystème ESS local.