Les perspectives d’investissement d’Énergie Partagée en 2021
Avec 26 M€ collectés en soutien à la réalisation de 101 projets, Énergie Partagée démontre la pertinence de son modèle d'intervention. Alors que de nombreux territoires veulent engager des projets résilients de production d'énergie, l'appui d’Énergie Partagée est plus que jamais décisif.
Continuer à soutenir la transition énergétique citoyenne
Quels projets à financer en 2021 ?
Énergie Partagée est un outil d’investissement qui intervient en amont de la réalisation des projets. Ainsi, à la différence du financement participatif, notre collecte ne s’opère pas projet par projet, mais pour l’ensemble des futurs projets à financer.
En 2021, nous souhaitons soutenir la transition énergétique sur plusieurs fronts :
Mettre les gaz
1,2,3 -> solaire
La production d’énergie solaire ne cesse de se diversifier. Exemple : à Rives (Isère), où l’on installe des panneaux photovoltaïques servant d’ombrière à un parking. Nous avons l’intention de poursuivre ce genre de projets en Île-de-France, à Nantes et en Ardèche.
Énergie Partagée identifie également des projets de PV au sol de taille moyenne (environ 5 à 7 ha) sur des sols déjà artificialisés, comme par exemple d’anciennes décharges.
Et toujours le soutien apporté aux toits ensoleillés, qu’il s’agisse de grands toits de hangar, ou de plusieurs toitures de plus petite taille (on parle alors de « grappe photovoltaïque ») et qui totalisent des besoins d’environ 1,5 million d’euros par an.
Le vent se lève…
Et nous amène toujours plus de projets éoliens, dont la durée de développement varie de 3 à 5 ans.
En 2021, le belle dynamique des Mauges verra la réalisation de deux nouveaux parcs éoliens, directement inspirés des parcs de la Jacterie et de l’Hyrôme, à Beaupréau-en-Mauges (Parc des Grands Fresnes) et à Chanteloup-les-Bois (Parc de la Grande Levée).
Côté investissement, dans les 2 à 3 ans à venir, Énergie Partagée table sur la réalisation d’une douzaine de projets (dans le Limousin, l’Anjou, en Bretagne, en Seine et Marne ainsi qu’en Occitanie et à la limite entre Loire et Ardèche), soit 4 à 5 millions d’euros de besoin de financement.